---- below Message from Solveig Godeluck ------
Heureusement, il y a Solveig
Bonjour
toutes les deux,
Je ne sais pas si je mérite et recherche vraiment l'appellation de spécialiste en quoi que ce soit, mais en tous cas je suis de ceux qui pensent que tout citoyen du monde a vocation à s'exprimer (ce qui ne signifie pas nécessairement avoir raison). C'est donc à ce titre que je vous donne mon point de vue. La frontière telle que la conçoit Alain Madelin semble être la "finis" des Anciens : une ligne précise et irréversible, le bout du monde, un gouffre puis le vide. C'est aujourd'hui la conception étriquée qui régit les frontières entre Etats souverains. Si Alain Madelin gardait à l'esprit l'autre définition, celle du "limes", les "marches" du royaume (de l'empire, etc.), il mesurerait combien floue est la limite, combien la personnalité recèle de facettes et de potentialités, combien les hommes sont plus complexes que les agents économiques. Bon
voyage,
Bonjour Solveig En lisant une vieille interview de Alain Madelin ce matin, je suis ébahie de lire :"Je mesure la fragilité de la frontière qui souvent sépare la délinquance de la non délinquance, une vie réussie et une vie gâchée. " [http://www.voyage-immobile.net/106b.htm] Or je vous sollicite car en tant que spécialiste de frontières et de géopolitique [en tous les cas pour Picabiette et moi, vous êtes notre spécialiste. J'ai même acheté votre livre "La géopolitique sur Internet" sur Amazon (il est arrivé vite comme d'habitude) et j'en suis à la page 61], je disais donc en tant que notre spécialiste je voulais vous demander votre sentiment quant à la compréhension qu'il faut avoir de cette phrase : "Je mesure la fragilité de la frontière qui souvent sépare la délinquance de la non délinquance, une vie réussie et une vie gâchée." Je
ne comprends pas comment on mesure la fragilité d'une frontière
?
Coulomb
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