A la sortie du musée militaire, la rue de Tchita est d’une gaieté folle, avec ses couleurs, ses feux qui glapissent, les annonces de concert, les filles en bottes dorées, les marchandes de poisson, les poubelles-oiseaux. Dans une librairie, les étagères proposent Montaigne, Balzac, George Sand, Vian, Molière, Stendhal...
Je me rends à la Poste, où j’achète des cartes postales "8 mars, fête des femmes", avec enveloppes assorties. Je fais mon courrier : ils seront très contents, à Paris, de recevoir des cartes de vœux !