Le musée Arseniev présente des animaux empaillés "en situation", dans une scénographie chère aux musées russes : le diaporama - qui mélange des éléments de réalité, en relief, et les prolonge par un décor peint. Ours, tigre, loup, chouettes...
On croise Arseniev, russe, et Dersou, golde, immortalisés dans une sculpture de bois.
Et les "peuples-racines", si nombreux en Sibérie : Toungouses, Aléoutes, Evenks... (voir le site du RAIPON, Association des peuples autochtones du Nord, de la Sibérie et de l’Extrême-Orient de la Fédération de Russie ou wikipedia)
Au dernier étage, le musée soviétique : poussiéreux, déjà ! On y trouve une photo de Yul Brynner, dont la mère était cantatrice à Vladi. Et des souvenirs franco-russes : un miroir d’argent offert au comte Mouravieff-Amourski, "Une année de fêtes russes", publié en France, et dont l’auteur, Vera Vend, était fille d’un général russe.